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Henode et la quête

Henode et la quête
  • Quantité d'infini, de pertes et de gains, de sensations tantôt pures comme des soleils, tantôt coupantes et vibrantes comme des lames, il faudrait se perdre, perdre le but, le sens, l'objectif, ne plus enfin avoir de raison pour retrouver la clarté des azu
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10 mai 2004

L’art commence lorsque plus rien ne nous pousse

L’art commence lorsque plus rien ne nous pousse vers les sensations, lorsqu’elles semblent sorties du plus profond de notre sang.

 

Des solutions par milliers et finalement l’inconscient derrière nous ; des vérités, des haines des amours, des années entières passées et finalement, un inconscient derrière nous. Passer sa vie à chercher ce qui ne provoque aucune réaction dans les tréfonds de nous-même, pour finalement s’apercevoir qu’aucune osmose n’existe…

En être réduit finalement à faire des concessions

 

Tout doit être écoute de soi, descente dans les profondeurs de l’esprit : le reste n’est que de l’agitation perpétuelle, aussi profonde ou matérielle qu’elle puisse être.

J’eus tout d’un coup un terrible trou de mémoire, incapable de me rappeler ou je me trouvais, ce que je venais de faire, tentant de rassembler mes esprits , je ne parvins a me souvenir finalement que d’avoir un lu un livre sans savoir lequel quand je me rappelais tout d’un coup

Que j’étais en fait dans mes pensées

« l’irréalité de ce qui est et la réalité de ce qui n’est pas »

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